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Les quatre cents coups

1959

Patrimoine

France

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Récompenses:

Festival de Cannes, 1959 - Prix de la mise en scène, 5 Nominations dont la Palme d'Or 

BAFTA, 1961 - Nominations au Prix du Meilleur film, Prix Révélation de l'année pour Jean-Pierre Léaud

Premier long métrage de François Truffaut, première apparition de Jean-Pierre Léaud, manifeste de la Nouvelle Vague... : un bonheur de cinéma intact.

Antoine Doinel connaît une adolescence turbulente. Pris en étau entre une mère peu aimante, un beau-père absent et un institueur tyrannique, il s'évade aux côtés de son ami René, avec qui il fait les quatre cents coups. Mais allant de l'école buissonière, à la fugue puis au vol, ce garçon dissipé commence à attirer l'attention de la police... 

 

Truffaut, figure de la Nouvelle Vague

Largement autobiographique, Les quatre cent coups rend justice au talent de François Truffaut. L'admiration d'Antoine Doinel pour Honoré de Balzac se retrouve dans  le récit de son adolescence, véritable description expérimentale de l'évolution de la société et des transformations du modèle familial. En tant que premier film de la saga Antoine Doinel, ce chef-d'oeuvre cinématographique marque à la fois la genèse de la Nouvelle Vague et les débuts de Jean-Pierre Léaud à l'écran. Un canon du cinéma français donc, qui traite avec sensibilité la spirale infernale dans laquelle le héros s'enferme par une bonne volonté maladroite touchante.

 

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