Galerie photo de Pauvres millionnaires
Pauvres millionnaires
1959
Patrimoine
Italie
Réalisateur : Dino Risi
Auteurs : Dino Risi, Massimo Franciosa, Pasquale Festa Campanile
Acteurs : Renato Salvatori, Lorella De Luca, Maurizio Arena, Alessandra Panaro
Producteur : Titanus
Deux amis, Romolo et Salvatore, ont épousé le même jour Annamaria et Marisa. À peine passées les effusions familiales, tous les quatre se précipitent à la gare de Rome prendre le train pour Florence, où ils ont prévu de passer leurs lunes de miel.
Mais au guichet où ils ont pris leurs billets, Salvatore a oublié son chapeau. Pendant que les deux garçons partent le récupérer, le train part avec les deux jeunes épouses…
Fantaisie
Dernier chapitre d'une trilogie qui compte Pauvres mais beaux et Belles mais pauvres, Pauvres millionnaires entraîne ses joyeux protagonistes dans une fantaisie burlesque, où coups du sort, contretemps et quiproquos s'enchaînent à vive allure. Devenu amnésique après un accident, Salvatore se retrouve par un concours de circonstances directeur de grand magasin, et s'initie alors au confort d'une vie opulente, tandis que son épouse, qu'il a totalement oubliée, veut le reconquérir coûte que coûte. Inédite en France jusqu'en 2016, cette optimiste comédie sociale du prolixe et génial Dino Risi (Le fanfaron, Les monstres, Parfum de femme…) fait la part belle aux bons sentiments et au comique de situation. Un petit vent de fraîcheur.
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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