Pardon, mais c'est trop bon
Société
Réalisatrice : Sophie Jeaneau
Producteurs : ARTE FRANCE, DOC EN STOCK
Des femmes parlent avec franchise et émotion du plaisir sexuel. Jamais gratuit ni moqueur, un reportage en forme d'hymne au plaisir, à la connaissance de soi et à la rencontre de l'autre.
La révolution sexuelle des années 1970 a permis aux femmes de réclamer leur droit au plaisir et d'apprendre à mieux connaître leur corps. Pourtant, trente ans plus tard, l'orgasme féminin demeure un mystère pour beaucoup, femmes et hommes. De nombreuses femmes admettent n'avoir pas encore eu d'orgasme. Dans Pardon, mais c'est trop bon..., une femme de 68 ans raconte, les larmes aux yeux, comment elle a connu le plaisir sexuel pour la première fois à l'âge de 46 ans - une découverte qui a bouleversé sa vie. L'orgasme est-il une quête absolue ? Celui que l'on connaît en se masturbant est-il aussi fort que celui que l'on vit à deux ? Quel est le rôle des "scénarios érotiques" ? Quelle est la subtile alchimie entre le corps et l'esprit qui amène jusqu'au plaisir ? Masturbation, jouissance clitoridienne ou vaginale, fantasmes, sentiments... : dans ce reportage des femmes parlent ouvertement de leur expérience. Des témoignages toujours francs, parfois poétiques, auxquels s'ajoutent les analyses de spécialistes - psychiatres, sexologues, neurobiologistes - qui décryptent, croquis et vidéos à l'appui, la jouissance sous toutes ses formes.
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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