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Leurs noms sont désormais gravés dans l’histoire de leur discipline.

265 combats, 10 titres de championne de France, championne du monde en 2008. Pendant dix ans, la cam&eacute;ra de C&eacute;dric Balaguier a suivi le parcours hors-norme de Sarah Ourahmoune, jusqu&#39;&agrave; sa cons&eacute;cration aux Jeux Olympiques de Rio en 2016, lorsque la boxeuse de 35 ans est devenue vice-championne olympique dans la cat&eacute;gorie des poids mouches.

La jeune femme, n&eacute;e &agrave; S&egrave;vres en 1982 connut ses premiers &eacute;mois pugilistiques en 1999 - elle fut championne de France &agrave; l&#39;&acirc;ge 17 ans, un an &agrave; peine apr&egrave;s avoir commenc&eacute; la boxe. Mais cette maman a &eacute;galement&nbsp;obtenu un master en communication &agrave; Sciences-Po Paris. Elle est aujourd&#39;hui membre du Conseil pr&eacute;sidentiel des villes et fait partie du conseil des plus grandes instances nationales sportives. Une combattante mod&egrave;le sur et en dehors du ring.

L&#39;histoire de Sarah Ourahmoune, championne du monde de boxe.

Sarah la combattante

Regard de d&eacute;fi, attaques d&eacute;vastatrices, rage de vaincre&hellip; Son style de jeu unique a fait de lui une l&eacute;gende des &eacute;checs, qu&rsquo;il a domin&eacute;s outrageusement de 1985 &agrave; 2000. N&eacute; en 1963 &agrave; Bakou, d&rsquo;un p&egrave;re juif az&eacute;ri, d&eacute;c&eacute;d&eacute; lorsqu&rsquo;il avait 7 ans, et d&rsquo;une m&egrave;re d&rsquo;origine arm&eacute;nienne, qui sacrifiera sa carri&egrave;re pour l&rsquo;amener au sommet, Garry Weinstein forge son g&eacute;nie en observant ses parents s&rsquo;affronter. &Agrave; une &eacute;poque o&ugrave; la guerre froide se joue aussi sur l&rsquo;&eacute;chiquier, le prodige &ndash; qui a russifi&eacute; son nom afin d&rsquo;&eacute;chapper aux discriminations antis&eacute;mites &ndash; voit pourtant son ascension entrav&eacute;e, le pouvoir sovi&eacute;tique ayant d&eacute;j&agrave; son champion du monde : Anatoli Karpov, qui a lav&eacute; l&rsquo;humiliation de la nation apr&egrave;s le titre de l&rsquo;Am&eacute;ricain Bobby Fischer en 1972. En f&eacute;vrier 1985, Kasparov d&eacute;nonce ainsi une d&eacute;cision politique lorsque le pr&eacute;sident de la F&eacute;d&eacute;ration internationale d&rsquo;&eacute;checs interrompt le match l&rsquo;opposant &agrave; son compatriote sans d&eacute;signer de vainqueur. L&rsquo;affrontement reprendra sept mois plus tard, dans une URSS d&eacute;sormais dirig&eacute;e par Gorbatchev, dont les vell&eacute;it&eacute;s r&eacute;formatrices s&rsquo;accordent avec l&rsquo;image de trublion du challengeur. Apr&egrave;s vingt-quatre parties, Kasparov devient, &agrave; 22 ans, le plus jeune champion du monde de l&rsquo;histoire. En 1997, celui qui se pensait ind&eacute;tr&ocirc;nable c&egrave;de pourtant face &agrave; l&rsquo;ordinateur Deep Blue d&rsquo;IBM, avant d&rsquo;abandonner sa couronne trois ans plus tard &agrave; Vladimir Kramnik. D&eacute;sormais, il luttera sur le terrain politique, faisant de Vladimir Poutine son adversaire principal&hellip;&nbsp; 
 
Espionnage et coups bas&nbsp; 
&Eacute;maill&eacute; d&rsquo;extraits de ses plus grands matchs, ce documentaire r&eacute;unit une foule d&rsquo;archives rares et des interviews passionnantes (anciens entra&icirc;neur et manageur de Kasparov, grand ma&icirc;tre, journalistes, ex-agent du KGB&hellip;) pour retracer le parcours de &quot;l&rsquo;ogre de Bakou&quot;, en exil forc&eacute; depuis une dizaine d&rsquo;ann&eacute;es. Plongeant dans l&rsquo;univers trouble des 64 cases, sur fond de faux-semblants, d&rsquo;espionnage et de basses intrigues, il ressuscite la rivalit&eacute; mythique qui opposa le champion rebelle &agrave; Karpov, &quot;Homo sovieticus&quot; id&eacute;al, devenu d&eacute;put&eacute; de la Douma. De son enfance caucasienne &agrave; son inscription r&eacute;cente sur la liste des &quot;terroristes et extr&eacute;mistes&quot; &eacute;tablie par le Kremlin, ce portrait digne d&rsquo;un polar met ainsi en lumi&egrave;re l&rsquo;engagement politique de Kasparov, dont le destin raconte en creux celui de l&rsquo;URSS. &nbsp;

L&#39;extraordinaire destin de Garry Kasparov, devenu en 1985 le plus jeune champion du monde de l&#39;histoire des &eacute;checs.

Kasparov, rebelle sur l'échiquier

Dans l&#39;ar&egrave;ne surchauff&eacute;e du court central de l&#39;US Open, un soir de septembre 2022, Serena Williams, boulevers&eacute;e, fait ses adieux au monde du tennis. Depuis les tribunes, Venus, son a&icirc;n&eacute;e de quinze mois, la couve du regard. &quot;Je ne serais pas Serena s&#39;il n&#39;y avait pas eu Venus&quot;, lui lance sa soeur entre deux sanglots. Si Serena est devenue la figure de proue du duo, Venus en est rest&eacute;e l&#39;ange gardien. Leurs destins sont li&eacute;s depuis leurs d&eacute;buts, sur les courts squatt&eacute;s par les gangs du ghetto de Compton &agrave; Los Angeles, o&ugrave;, dans les ann&eacute;es 1980, elles &eacute;taient les seules enfants noires &agrave; jouer au tennis. Ensemble, elles ont surmont&eacute; le racisme et le sexisme, transform&eacute; le tennis f&eacute;minin pour se forger un palmar&egrave;s sans &eacute;gal : 62 titres du Grand Chelem &agrave; elles deux, dont 14 remport&eacute;s ensemble en double... 
 
La r&eacute;volution Williams 
Du quartier de Compton &agrave; Los Angeles, le berceau du gangsta rap am&eacute;ricain o&ugrave; elles ont grandi, au gazon londonien de Wimbledon, ce portrait raconte comment ces deux championnes aux pr&eacute;noms de d&eacute;esses sont aussi devenues des ic&ocirc;nes. Issues d&#39;une famille modeste, berc&eacute;es par la culture de la rue, nourries aux mantras de leur p&egrave;re, elles ont d&eacute;barqu&eacute; comme des ovnis dans le monde feutr&eacute; du tennis, affichant des codes totalement in&eacute;dits avec une audace aussi grande que leur talent. Beaucoup ont fait la fine bouche, raillant leur puissance &quot;masculine&quot;, leur assurance, leurs looks d&eacute;fiant les standards, mais elles ont su retourner ces st&eacute;r&eacute;otypes en image positive, pour devenir des mod&egrave;les inspirant des jeunes femmes de toutes origines. Sign&eacute; par l&#39;ancienne journaliste sportive Sonia Dauger, connaisseuse de la soci&eacute;t&eacute; am&eacute;ricaine et en particulier de ses probl&eacute;matiques raciales (Denzel Washington - Un mod&egrave;le am&eacute;ricain), le film revient sur la construction de cette sororit&eacute; unique en son genre, dont les implications d&eacute;passent largement le monde du sport.

Comment Serena et Venus Williams ont chang&eacute; le tennis et sont devenues des ic&ocirc;nes mondiales.

Venus & Serena - Ces icones que l'Amérique ne voulait pas voir

Au stade Santiago Bernabeu de Madrid, le 23 avril 2005, le championnat espagnol - la Liga - bat son plein. Tout autour de l&#39;enceinte, dix-sept cam&eacute;ras synchronis&eacute;es, m&ecirc;lant deux formats (le super 35mm - format de projection scope - et la Haute D&eacute;finition), sont braqu&eacute;es sur Zinedine Zidane, joueur vedette du Real Madrid. Couvrant un angle de 360 degr&eacute;s, ce dispositif offre au spectateur, pour la premi&egrave;re fois, la sensation de jouer le match aux c&ocirc;t&eacute;s du champion et de ressentir ses moindres mouvements. &Agrave; travers les gros plans sur le visage et les jambes de Zidane, c&#39;est le corps de l&#39;athl&egrave;te en action plus que le ballon (que l&#39;on ne voit quasiment jamais) qui est l&#39;objet de toute notre attention&hellip; Cette exp&eacute;rience originale, jamais men&eacute;e auparavant, est propos&eacute;e par le Fran&ccedil;ais Philippe Parreno et l&#39;&Eacute;cossais Douglas Gordon, deux artistes conceptuels contemporains qui signent l&agrave; leur premier film. Au-del&agrave; du d&eacute;fi artistique, ce document unique constitue &eacute;galement un challenge technique r&eacute;alis&eacute; avec une &eacute;quipe internationale reconnue (le producteur de David Lynch, le directeur de la photographie de Wong Kar Wa&iuml;, les cadreurs de Scorsese&hellip;) et des moyens consid&eacute;rables. La bande son originale, elle, est supervis&eacute;e par Tom Johnson (King Kong, Star wars&hellip;).

Visualisez à la demande ZIDANE UN PORTRAIT DU XXI SIECLE

Le portrait en action et en temps r&eacute;el d&#39;une l&eacute;gende du foot, un d&eacute;fi artistique et technique unique : film&eacute; &agrave; hauteur d&#39;homme, tout un match au plus pr&egrave;s de Zinedine Zidane, alias Zizou le magnifique.

Zidane, portrait du XXIe siècle

Triple champion du monde poids lourd, Muhammad Ali a captiv&eacute; des millions de fans fascin&eacute;s par sa gr&acirc;ce, sa vitesse et sa puissance sur les rings, mais aussi par son charme et ses m&eacute;morables joutes verbales. N&eacute; Cassius Clay, Jr., Ali est pass&eacute; de boxeur amateur &agrave; m&eacute;daill&eacute; d&#39;or olympique et champion du monde poids lourds, comme il l&#39;avait promis quant qu&rsquo;il n&rsquo;avait que douze ans. Il a suivi ses propres r&egrave;gles &ndash; sur le ring et dans la vie &ndash; exasp&eacute;rant ses critiques, d&eacute;concertant ses adversaires et captivant des millions de supporters. Figure embl&eacute;matique de la lutte contre la s&eacute;gr&eacute;gation raciale et de l&rsquo;opposition &agrave; la guerre du Vietnam, Ali sera condamn&eacute; &agrave; une lourde peine pour son refus d&#39;&ecirc;tre incorpor&eacute; dans l&#39;arm&eacute;e am&eacute;ricaine. Banni pour ses convictions, il reviendra &agrave; la boxe comme outsider, et r&eacute;cup&eacute;rera son titre &agrave; deux reprises devenant le sportif le plus c&eacute;l&egrave;bre de la plan&egrave;te. Ce portrait intime raconte l&#39;histoire d&#39;un athl&egrave;te iconique dont l&#39;influence transcende la boxe.

Puisant dans un tr&eacute;sor d&#39;images et de photographies d&#39;archives, et dans les souvenirs des t&eacute;moins de sa vie -amis, famille, journalistes, boxeurs et historiens- Ken Burns r&eacute;alise ce magnifique portrait de l&#39;une des figures les plus marquantes et les plus attachantes du 20e si&egrave;cle.

&nbsp;

H&eacute;raut iconique du Black Power 
Muhammad Ali fut-il, comme l&#39;&eacute;crivit Norman Mailer, &quot;la plus parfaite incarnation de l&rsquo;esprit du XXe si&egrave;cle&quot; ? Sa personne, et le destin qu&#39;il s&#39;est forg&eacute; de ses poings et de son verbe, ont en tout cas cristallis&eacute; certains des changements culturels majeurs qu&#39;a connus l&#39;Am&eacute;rique &agrave; partir des ann&eacute;es 1960. Dans cette fresque magistrale, port&eacute;e par de formidables archives, dont certaines in&eacute;dites, comme les images du combat de Manille, Ken Burns, Sarah Burns et David McMahon nous offrent huit heures dans l&#39;intimit&eacute; solaire de l&#39;athl&egrave;te et h&eacute;raut iconique du Black Power, pour le faire revivre dans toute sa complexit&eacute;.

Tissant la parole de dizaines de t&eacute;moins &ndash; dont les filles du champion, Rasheda et Hana, leurs m&egrave;res respectives, Khalilah Ali et Veronica Porch&eacute; Ali, ses biographes David Remnick et Jonathan Eig, le promoteur du combat de Kinshasa, le tr&egrave;s controvers&eacute; Don King, ou encore le boxeur Larry Holmes, qui pleure de chagrin au souvenir du combat qu&#39;il remporta contre son h&eacute;ros, affaibli par l&#39;&acirc;ge et, d&eacute;j&agrave;, la maladie&hellip; &ndash;, ce portrait multidimensionnel, intens&eacute;ment humain, explore toutes les facettes, parfois contradictoires, du parcours extraordinaire de Muhammad Ali et de son h&eacute;ritage, sur le ring et en dehors.

Un r&eacute;cit rythm&eacute; par de fabuleux combats, qui rappellent combien la boxe, davantage peut-&ecirc;tre qu&#39;aucun autre sport, rel&egrave;ve de l&rsquo;&eacute;pop&eacute;e.

&nbsp;

Un film documentaire en 4 rounds&nbsp;: 
ROUND 1 : Le plus grand (1942-1964) 
ROUND 2 : Quel est mon nom ? (1964-1970) 
ROUND 3 : La rivalit&eacute; (1970-1974) 
ROUND 4 : Le prix &agrave; payer (1974-2016)

&nbsp;

Une biographie exceptionnelle &agrave; la hauteur de la d&eacute;mesure du personnage et de son destin. Un film de Ken Burns le r&eacute;alisateur et producteur de&nbsp;<a href="https://boutique.arte.tv/detail/vietnam">Vietnam</a>, <a href="https://boutique.arte.tv/detail/the-war-ken-burns">The War</a>, <a href="https://boutique.arte.tv/detail/the-civil-war-ken-burns">The Civil War</a>, <a href="https://boutique.arte.tv/detail/prohibition-ken-burns">Prohibition</a>,&nbsp;Jazz 100 ans de l&eacute;gende, <a href="https://boutique.arte.tv/detail/country-music-ken-burns">Country Music</a>...&nbsp;

Le portrait d&#39;une ic&ocirc;ne du 20e si&egrave;cle. Une s&eacute;rie documentaire exceptionnelle.

Muhammad Ali

Photo du documentaire "Muhammad Ali The greatest"

Cassius Marcellus Clay, boxeur afro-am&eacute;ricain, remporte en 1960 le titre olympique des mi-lourds et devient en 1964 champion du monde des poids lourds. 
Au lendemain de cette victoire, il r&eacute;v&egrave;le qu&#39;il est membre des Black Muslims, se convertit &agrave; l&#39;islam, change de nom et d&eacute;fie l&#39;Am&eacute;rique blanche. 
Ayant refus&eacute; de faire son service militaire pour protester contre la discrimination raciale et l&#39;engagement am&eacute;ricain au Vi&ecirc;t-nam, il est d&eacute;chu de son titre en 1967. 
Apr&egrave;s trois ans d&#39;inactivit&eacute;, il peut revenir sur le ring et reconqu&eacute;rir le titre mondial en 1974 contre George Foreman. Il retrouve sa gloire, sa couronne, sa l&eacute;gende. 
 
 
In 1964, Cassius Clay becomes heavy-weight champion of the world and declares his name is Muhammad Ali. A date in sports history and a turning point in black awareness. This was the subject of William Klein&#39;s feature documentary : Cassius The Great, winner of first prizes in four international festivals. 
 
It was a searing look into boxing, into the Southern power structure, inside the Black Muslims. We met the Kentucky syndicate who bought and sold Clay. We follow the mysterious Clay-Liston match and re-match. Malcom X, a week before his assassination, analyses Ali&#39;s profound political significance. Grotesque ghosts of boxing from Joe Louis to Beau Jack lumber, punch-drunk and tragic, through the film. And, above all, Muhammad Ali, explodes on the scene constantly catching America off guard, the first black champion to declare himself free. Eventually, it cost him his title, 3 years enforced retirement, and many millions of dollars. But unkindest cut, as ex-champion he became a symbol in reverse. In America, a martyr is rather a loser than a hero. 
 
Muhammad Ali, an aging 32 year-old, who no longer Floats-like-a-Butterfly-and-Stings-like-a-Bee, no longer a revolutionary figure but nostalgia, wants his title back, or, at least, one last big pay check and he shall fight the terrifying Foreman. 
 
And at all odds, this is the end of the most extraordinary sports career of all time. 
October 31, 5:30am, Kinshasa, Za&iuml;re. Ali stands triumphant over Foreman, bewildered and K.O How did Ali, underdog, ex-martyr, become once again an all-time hero, champion and legend ? 
What has he become, the man that Malcolm X called the most important black personality of our time ? The phenomenon that Norman Mailer calls &quot;The Spirit of the 20th Century, the Prince of Mass Man and of Media&quot;? Who is Ali ? 
This first and only real portrait contrary to recent stock shot montages, Muhammad Ali the Greatest, brings a powerful, often hilarious, and always entertaining answer. 
 
 
Available in English Audio Version

Visualisez à la demande MOHAMMAD ALI THE GREATEST

William Klein a rencontr&eacute; Muhammad Ali en 1964 et l&rsquo;a suivi dix ans durant&nbsp;pour r&eacute;aliser ce documentaire d&eacute;sormais mythique.

Muhammad Ali the greatest

Sa mort, v&eacute;cue en direct par des millions de t&eacute;l&eacute;spectateurs, fut l&rsquo;une des plus grandes trag&eacute;dies de l&rsquo;histoire du sport automobile. Idole en son pays, Ayrton Senna na&icirc;t en 1960 dans une famille ais&eacute;e de S&atilde;o Paulo qui lui donne les moyens d&rsquo;accomplir son r&ecirc;ve : devenir pilote de F1. Le futur champion effectue ses premi&egrave;res comp&eacute;titions internationales en karting : &quot;De la course &agrave; l&rsquo;&eacute;tat pur. Il n&rsquo;y avait pas d&rsquo;enjeux strat&eacute;giques ni &eacute;conomiques&quot;, dira-t-il plus tard, nostalgique. Apr&egrave;s avoir gagn&eacute; le Grand Prix du Portugal en 1985, Ayrton Senna quitte Lotus pour rejoindre McLaren-Honda et son pilote phare, Alain Prost, avec lequel il cultive une rivalit&eacute; mythique. Orgueilleux, le Br&eacute;silien continue d&rsquo;encha&icirc;ner les victoires jusqu&rsquo;&agrave; devenir champion du monde en 1988, 1990 et 1991. Mais Senna entretient des rapports extr&ecirc;mement tendus avec son co&eacute;quipier, qui, selon lui, serait favoris&eacute; par la F&eacute;d&eacute;ration internationale du sport automobile, pr&eacute;sid&eacute;e par le Fran&ccedil;ais Jean-Marie Balestre. Prost, de son c&ocirc;t&eacute;, lui reproche son pilotage agressif, qui lui vaut l&rsquo;admiration du public. Le 1er mai 1994, alors qu&rsquo;il vient de signer un contrat avec Williams-Renault, Ayrton Senna, de plus en plus pr&eacute;occup&eacute; par sa s&eacute;curit&eacute; &ndash; notamment depuis l&rsquo;interdiction des aides &eacute;lectroniques sur les v&eacute;hicules &ndash;, se tue, &agrave; l&rsquo;&acirc;ge de 34 ans, sur le circuit d&rsquo;Imola, &agrave; Saint-Marin. Sa mort provoque une vive &eacute;motion &agrave; travers le monde, tandis que le Br&eacute;sil d&eacute;cr&egrave;te trois jours de deuil national. 
 
 
Faisant la part belle aux images d&#39;archives remasteris&eacute;es d&rsquo;Ayrton Senna, ce film, qui s&eacute;duira un public plus large que les seuls aficionados de courses automobiles, r&eacute;unit les t&eacute;moignages de pilotes (notamment d&rsquo;Alain Prost), de la s&oelig;ur du sportif, de son m&eacute;decin, de directeurs d&rsquo;&eacute;curies ou encore de journalistes. D&eacute;roulant un r&eacute;cit tout en tensions et p&eacute;rip&eacute;ties, il brosse le portrait &agrave; la fois haletant et d&eacute;chirant d&rsquo;un pilote exceptionnel au destin funeste.

L&eacute;gende de la Formule 1, le Br&eacute;silien Ayrton Senna, d&eacute;c&eacute;d&eacute; lors du Grand Prix de Saint-Marin en 1994, a marqu&eacute; sa g&eacute;n&eacute;ration.

Senna

Le 5 juillet 1984, Diego Maradona d&eacute;barque &agrave; Naples pour un montant qui &eacute;tablit un nouveau record du monde. Pendant sept ans, il enflamme les stades. Le footballeur le plus mythique de la plan&egrave;te a parfaitement trouv&eacute; ses marques dans la ville la plus passionnante &ndash; mais aussi la plus dangereuse &ndash; d&rsquo;Europe. Sur le terrain, Diego Maradona &eacute;tait un g&eacute;nie. En dehors du terrain, il &eacute;tait consid&eacute;r&eacute; comme un dieu. Cet Argentin charismatique aimait se battre contre l&rsquo;adversit&eacute; et il a men&eacute; le SCC Napoli en t&ecirc;te du tableau pour la premi&egrave;re fois de son histoire. C&rsquo;&eacute;tait un r&ecirc;ve &eacute;veill&eacute; ! Mais le prix &agrave; payer &eacute;tait &eacute;lev&eacute;. Diego pouvait faire tout ce qu&rsquo;il voulait tant qu&rsquo;il accomplissait des miracles sur le terrain. Pourtant, des heures plus sombres ont fini par succ&eacute;der &agrave; ces ann&eacute;es fastes&hellip;&nbsp;Diego Maradona&nbsp;a &eacute;t&eacute; r&eacute;alis&eacute; &agrave; partir de plus de 500 heures d&rsquo;images in&eacute;dites issues des archives personnelles du footballeur.

Diego Maradona : L&#39;histoire fascinante d&#39;un prodige du football, entre gloire, scandales et l&eacute;gende &eacute;ternelle.

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