All I want for Christmas is... 3 films pour le prix de 2 : Une sélection de 500 films vous attend au pied du sapin !

Promotions

Noël

Offrir une carte Cadeau

Offrir une VOD

Aide

Nous contacter

Assistance

CGV CGU

Mentions Légales et protection des données personnelles

Politique de cookies ARTE Boutique

Accessibilité : non conforme

Infos légales

ARTE.tv

ARTE Radio

ARTE Boutique

Productions numériques

Le réseau ARTE

 Photo du documentaire "The Beatles : Le monde est à eux"

Une sélection de portraits documentaires pour (re)découvrir ceux qui ont fait vibrer l’histoire de la musique, tous styles confondus — du classique au rock en passant par le jazz.

Depuis près de soixante ans, elle enchante l’Amérique à coups de hits devenus planétaires, de "Jolene", reconverti brûlot indie rock par les White Stripes, à "I Will Always Love You", dont la reprise par Whitney Houston reste la chanson d’une artiste femme la plus vendue de tous les temps. Choucroute peroxydée et combinaisons moulantes à paillettes, la reine absolue de la country a su en outre s’attirer tous les suffrages par ses aphorismes – les "dollismes" – et sa générosité de businesswoman philanthrope. Immense auteure-compositrice-interprète autant que virtuose de l’autodérision – "Ça coûte cher d’avoir l’air bas de gamme&nbsp;!" –, Dolly Parton, née en 1946, grandit en Cendrillon dans un cabanon sans eau ni électricité des Appalaches auprès de onze frères et sœurs, avant d’emporter, à 17 ans, sa voix de soprano, sa guitare et son rêve de devenir star dans un car pour Nashville. Sûre de son talent, celle qui d’emblée prévient "Just because I'm blonde, don't think I'm dumb" ("Juste parce que je suis blonde, ne crois pas que je suis idiote") s’émancipe vite de ses pygmalions pour écrire trois mille chansons et vendre cent millions de disques au cours d’une carrière hors norme. Jouant de sa caricature, l’autoproclamée Backwoods Barbie&nbsp;("Barbie de la cambrousse"), titre d’un album de 1967, s’honore de servir de modèle aux drag-queens&nbsp;: "Si j’avais été un garçon, j’en aurais été une, c’est sûr"… Plus équitable qu’engagée, mais surtout courageuse et maligne, Dolly, qui a ouvert un parc d’attractions à son nom dans le Tennessee, sait faire entendre la voix de la tolérance. En plein mouvement Black Lives Matter, cette fille du Sud profond rappelle ainsi : "Il n’y a pas que nos petits culs de blancs qui comptent." Taylor Swift, qui se réclame de son héritage, raconte que, lors d’un concert, son aînée pré #MeToo aurait taclé un importun qui lui hurlait sa flamme d’un&nbsp;sobre : "Je t’avais dit de rester dans le camion." "Mae West de Nashville"&nbsp; Retraçant la flamboyante carrière de cette légende vivante de la country – vénérée par Beyoncé qui, à son tour, a repris "Jolene" –, ce documentaire montre comment Dolly Parton, icône queer, a su conjuguer extrême artificialité et vraie profondeur. Car derrière ses extravagants costumes et son maquillage outrancier, la "Mae West de Nashville", attachée à ses Appalaches natales, raconte dans ses textes son intimité et sait y insuffler la gravité d’enjeux de société. Avec sa musique, un inébranlable optimisme qui voile sa mélancolie, et son espièglerie, "sainte Dolly" réussit à fédérer une Amérique fracturée, ralliant à sa bannière colorée Blancs et Noirs, progressistes et conservateurs. Féministe par le parcours plus que par le discours, elle s’investit dans de justes causes, pourvoyant en bibliothèques les enfants privés de livres ou participant en 2020 au financement&nbsp; de la recherche sur le vaccin contre le Covid-19. Au fil de ses apparitions télévisées explosives et en chansons, le réjouissant portrait d’un phénomène attachant qui n'a jamais rendu de comptes qu’à Dieu.&nbsp;

Portrait de Dolly Parton, reine absolue de la country music et icône à l’irrésistible espièglerie.

Dolly Parton, l'Amérique réconciliée

Photo du documentaire "L'odyssée musicale de Kate Bush"

En 1978, une jeune inconnue à la voix flûtée ensorcelle le monde avec "Wuthering Heights", une étrange chanson inspirée d’un roman du XIXe siècle (Les hauts de Hurlevent d'Emily Brontë). Découverte par David Gilmour, guitariste des Pink Floyd, Kate Bush réussit à 19 ans à imposer ses choix à sa maison de disque avec un flair remarquable : pour la première fois, un titre composé par une femme se hisse en tête des ventes de disques en Angleterre. Dès son album inaugural, The Kick Inside, elle affirme une vision artistique singulière, à laquelle elle ne dérogera jamais. S’inspirant de la sensibilité de David Bowie, mais aussi d'Elton John, Joni Mitchell ou Fleetwood Mac, elle cisèle un imaginaire baroque et foisonnant aux arrangements avant-gardistes. Audacieuse et profondément indépendante, compositrice de plusieurs dizaines de morceaux dès l'âge de 11 ans, elle s’inscrit à contre-courant des normes dévolues aux artistes féminines, notamment lors de concerts à la scénographie inédite. Depuis un demi-siècle, au fil d’albums marquant l’histoire de la pop, elle a inspiré des générations d’artistes tout en restant l’une des stars les plus secrètes de son époque. Adulée par la jeunesse En 2025, le culte autour de la pionnière Kate Bush n'a jamais été aussi vibrant. Intronisée en novembre 2023 au Rock &amp; Roll Hall of Fame, la chanteuse a vu l’un de ses morceaux emblématiques, "Running Up that Hill ", connaître une résurrection fulgurante trente-sept ans après sa sortie grâce à la BO de la série Stranger Things dans laquelle elle figure.&nbsp;Avec plus d’un milliard de streamings sur les plates-formes, Kate Bush devient un objet d’adoration pour une jeunesse qui redécouvre son œuvre. Une étape inattendue dans ce parcours d’exception que retrace ce documentaire porté par la voix de Jeanne Cherhal. À travers les interviews de Kate Bush elle-même, mais aussi les témoignages et les réinterprétations musicales de celles et ceux qu’elle continue d’influencer, dont Alice Lewis, Pauline de Tarragon ou Leah Kardos, ce portrait rend hommage à une extravagante sorcière du son dont la puissance de création semble devoir traverser les époques.

Une voix unique et un imaginaire luxuriant : depuis 1978, Kate Bush fascine le public et inspire des générations d'artistes.

L’odyssée musicale de Kate Bush

Pour ce documentaire, voulu et approuvé par les proches de Kurt Cobain – Courtney Love, mais aussi leur fille Frances Bean Cobain, qui a confié au réalisateur la totalité des archives de son père, dont beaucoup complètement inédites –, le réalisateur Brett Morgen a choisi de plonger dans les réminiscences, les pensées, les angoisses et les sensations de celui que l'on considère aujourd'hui comme la dernière vraie star du rock. Une biographie "autorisée", donc, mais tout sauf conventionnelle, qui emmène le spectateur dans un voyage halluciné, tragique et parfois dérangeant dans la psyché du leader de Nirvana, disparu en pleine gloire, à 27&nbsp;ans, d'une balle dans la tête. Films d'enfance, cassettes audio des premiers essais rock (le "montage of heck", ou "montage de rien", "de bazar"), dessins, journaux intimes, intenses scènes de vie et de défonce avec Courtney Love : un matériau d'une radicale intimité, qui se mêle, comme des visions intérieures, au flux mieux connu des interviews, des clips et des concerts, et aux témoignages de ses proches, dont sa mère et sa veuve, mais aussi son ami Krist Novoselic, bassiste de Nirvana. Gouffres Brett Morgen explore la souffrance du jeune homme, à laquelle le rock fournit d'abord un exutoire inespéré, avant que le poids écrasant de la célébrité ne le rejette dans ses gouffres. On le reconnaît, une guitare dans les bras, gamin blondinet et remuant que le médecin de famille mettra sous Ritaline pour endormir son indomptable énergie. Pour évoquer son adolescence éprouvante, quand, replié sur lui-même après le traumatisme du divorce de ses parents, il devient la risée de son collège à la suite d'une première expérience sexuelle désastreuse, le réalisateur recourt aussi à des dessins, commentés parfois par la voix off du chanteur. Mais il dévoile aussi combien Kurt Cobain fut un travailleur acharné, décidé à conquérir le succès, sans être préparé à devenir le porte-parole d'une génération. Un portrait d'une bouleversante proximité qui a fait sensation en 2015, lorsqu'à l'occasion de sa diffusion sur HBO&nbsp;il a brièvement été projeté dans les salles françaises.

Kurt Cobain: Montage of Heck

De son enfance à la veille de son suicide, en 1994, un voyage halluciné dans l'intimité du chanteur de Nirvana.

TINA est la célébration ultime d'une superstar mondiale mais aussi le portrait intime d'une femme qui a surmonté de nombreux obstacles tout au long de sa carrière, créant ainsi son identité et son héritage selon ses propres règles. Depuis ses débuts en tant que reine du R&amp;B jusqu'à ses tournées historiques à guichets fermés dans les années 80, Tina Turner tire le rideau pour nous inviter dans son monde privé comme elle ne l'a jamais fait auparavant. Révélant ses luttes les plus intimes et partageant certains de ses moments les plus personnels, TINA est l'album déterminant et inspirant de l'une des plus grandes survivantes de la musique moderne.

Tina

Un portrait de Tina Turner, retraçant son parcours exceptionnel entre musique, combat et renaissance.

&quot;J&#39;ai vu le futur du rock&#39;n&#39;roll et son nom est Bruce Springsteen.&quot; En 1975, cette phrase d&#39;un critique musical annonce d&eacute;j&agrave; la couleur&nbsp;: avec l&#39;album&nbsp;Born to Run, Bruce Springsteen se hisse au firmament du rock, voire de la musique am&eacute;ricaine tous genres confondus, devenant bient&ocirc;t une star du m&ecirc;me calibre que les t&eacute;nors de son temps, Madonna, Michael Jackson ou Prince. Avec une particularit&eacute; en guise de signature&nbsp;: issu d&#39;une famille d&#39;immigr&eacute;s de la classe ouvri&egrave;re dont il ne cessera de chanter la douleur et la r&eacute;silience, teint&eacute; du glossaire biblique qui l&#39;a entour&eacute; toute son enfance (&quot;la damnation, la r&eacute;demption, la transcendance et la disgr&acirc;ce&quot;), Bruce est le h&eacute;raut d&#39;une Am&eacute;rique qui se reconna&icirc;t dans ses paroles. 
 
Rauque&#39;n&#39;roll 
La sympathie naturelle de Springsteen, sa voix rauque et sa fameuse guitare Fender Telecaster (pr&eacute;sente sur la couverture de&nbsp;Born to Run&nbsp;et indissociable du son du chanteur), ses quatre cents chansons enregistr&eacute;es en plus de soixante ans de carri&egrave;re aux c&ocirc;t&eacute;s du E&nbsp;Street Band...&nbsp;: le documentaire de Thomas Boujut revient sur la partition bien connue du rocker le plus c&eacute;l&egrave;bre des &Eacute;tats-Unis, une histoire d&#39;amour r&eacute;ciproque entre un peuple et un homme en qu&ecirc;te de transcendance. Outre les nombreux combats sinc&egrave;res du &quot;Boss&quot; (l&#39;aide aux v&eacute;t&eacute;rans du Vi&ecirc;tnam, la lutte contre le VIH, contre le racisme, pour les classes populaires&hellip;), cette biographie &eacute;claire la relation &agrave; double sens que le musicien a entretenue avec le cin&eacute;ma durant toute sa carri&egrave;re. C&#39;est par exemple Springsteen qui, sans le savoir, a souffl&eacute; &agrave; Robert De Niro son improvisation culte dans le&nbsp;Taxi Driver&nbsp;de Martin Scorsese, apr&egrave;s que ces derniers ont assist&eacute; &agrave; un concert survolt&eacute; du chanteur, la veille de la fameuse prise, o&ugrave; il interpellait son public en hurlant&nbsp;: &quot;Are you talking to me&nbsp;?&quot; Un mod&egrave;le, depuis plus de cinquante ans.

Retour sur la carri&egrave;re du &quot;Boss&quot;, ic&ocirc;ne sensible et r&eacute;volt&eacute;e dont la guitare a accompagn&eacute; les combats br&ucirc;lants de son si&egrave;cle &ndash; et qui a pr&eacute;sent&eacute; au monde le meilleur visage de l&#39;Am&eacute;rique.

Bruce Springsteen, le chanteur qui murmurait à l'oreille de l'Amérique

AC/DC ne r&eacute;f&egrave;re plus depuis bien longtemps au courant alternatif et au courant continu. Le groupe australien (bien que les fr&egrave;res Young soient tous n&eacute;s en &Eacute;cosse), actif depuis 1973, a conquis g&eacute;n&eacute;ration apr&egrave;s g&eacute;n&eacute;ration dans le sillage d&#39;un son unique, coupant, survolt&eacute;, pens&eacute; par l&#39;a&icirc;n&eacute;, George, producteur et leader informel, et transmis &agrave; ses cadets, les deux guitaristes Malcolm et Angus. Rep&eacute;r&eacute; sur les sc&egrave;nes de Melbourne, &eacute;picentre du rock&#39;n&#39;roll australien &agrave; la fin des ann&eacute;es 1960, volontiers provocateur dans ses tenues (dont l&#39;uniforme culte d&#39;&eacute;colier d&#39;Angus Young, g&eacute;nial guitariste et v&eacute;ritable lapin Duracell sur sc&egrave;ne), le groupe se forge une r&eacute;putation de formation &quot;&eacute;nergique, vivante, dr&ocirc;le : rock&#39;n&#39;roll&quot;, selon les mots de Mark Evans, bassiste de la formation de 1975 &agrave; 1977. Apr&egrave;s avoir sorti quatre albums en moins de deux ans, AC/DC entame des tourn&eacute;es marathon, leur recette secr&egrave;te pour agr&eacute;ger les fans. Le Royaume-Uni tombe sous leur charme, suivi de pr&egrave;s par les &Eacute;tats-Unis. Angus Young, concentr&eacute; sur son objectif (devenir l&#39;un des meilleurs guitaristes du monde), proscrit toute drogue et tout alcool. Il sera bien le seul... Apr&egrave;s la mort du chanteur Bon Scott en 1980, probablement d&eacute;c&eacute;d&eacute; d&#39;un coma &eacute;thylique, son rempla&ccedil;ant Brian Johnson propulse le groupe au sommet avec Back in Black, deuxi&egrave;me album le plus vendu de tous les temps. Les documentaristes Dominique Mesmin et Marie-Claire Javoy orchestrent un hommage sur mesure au groupe, toujours debout : Power up, leur dernier album, date de 2020, malgr&eacute; le d&eacute;c&egrave;s de George et Malcolm en 2017. &quot;C&#39;est un atavisme &eacute;cossais&quot;, s&#39;en amuse l&#39;un des musiciens : &quot;Ils vont jusqu&#39;au bout.&quot; &Eacute;maill&eacute; d&#39;archives d&#39;Angus Young en entretien et des t&eacute;moignages de proches et d&#39;anciens musiciens de la formation, un concentr&eacute; de hard rock pur jus qui a fait l&#39;histoire.

AC/DC, ou trois fr&egrave;res au service de la musique. Un concentr&eacute; de hard rock pur jus qui a fait l&#39;histoire.

AC/DC - Forever Young

Les Beatles, des stakhanovistes ? Si leur immense contribution &agrave; la pop mondiale se place d&#39;abord sous le signe de la gr&acirc;ce et de l&#39;inspiration, les quatre de Liverpool furent d&#39;inlassables artisans, qui r&eacute;colt&egrave;rent assez vite les fruits de leur labeur. S&#39;ils se signal&egrave;rent par leur surproductivit&eacute; en nombre de hits imparables et de 33 tours mythiques, le d&eacute;but de leur carri&egrave;re fut surtout marqu&eacute; par d&#39;incessantes tourn&eacute;es mondiales, rodant le groupe au contact de fans de plus en plus nombreux. Les Beatles n&#39;aimaient rien tant, &agrave; cette &eacute;poque, que de se retrouver sur les estrades des clubs enfum&eacute;s. 
 
Acharn&eacute;s 
R&eacute;alis&eacute; par Ron Howard (Apollo 13,&nbsp;Solo : A Star Wars Story), ce documentaire couvre la plus prolifique p&eacute;riode de la carri&egrave;re des Beatles. Entre d&eacute;but janvier 1963 et&nbsp;fin ao&ucirc;t 1966, le groupe mythique abat une charge de travail hercul&eacute;enne tout en subissant un emploi du temps &eacute;reintant : 350 concerts sur cinq continents et une quinzaine de pays, deux films, 120 chansons produites, dont douze seront num&eacute;ros un des ventes au Royaume-Uni. Un an avant la sortie de l&#39;album&nbsp;Sgt. Pepper&#39;s Lonely Hearts Club Band,&nbsp;il nous invite &agrave; plonger dans un tourbillon cr&eacute;atif&nbsp;o&ugrave; l&#39;on voit John, Paul, Ringo et George apprendre &agrave; se conna&icirc;tre, &agrave; se renouveler et &agrave; &eacute;crire ensemble. Du Cavern Club de Liverpool &agrave; leur dernier concert au Candlestick Park de San Francisco, &agrave; travers des enregistrements live et des archives in&eacute;dites, voici les&nbsp;Fab Four comme rarement vus.

The Beatles: Eight Days a Week

R&eacute;unissant des archives in&eacute;dites, Ron Howard se penche sur trois&nbsp;ans de tourbillon cr&eacute;atif et d&#39;inlassable labeur des quatre de Liverpool.

The Beatles : le monde est à eux

&quot;J&#39;ai r&ecirc;v&eacute; ma vie, je l&#39;ai r&ecirc;v&eacute;e tr&egrave;s fort&quot;, assure-t-il. Dans la banlieue de Newcastle, o&ugrave; il est n&eacute; en 1951, sa m&egrave;re &eacute;tait coiffeuse et son p&egrave;re ancien ouvrier des chantiers navals, reconverti en livreur de lait. Apr&egrave;s avoir empoign&eacute; &agrave; l&#39;adolescence la guitare d&#39;un de ses oncles parti s&#39;installer au Canada, le jeune Gordon Sumner rejoint, en tant que chanteur et bassiste, le groupe The Police en 1976. La c&eacute;l&eacute;brit&eacute; va frapper fort et leurs tubes (&quot;Roxanne&quot;, &quot;Every Breath You Take&quot; ou &quot;Walking on the Moon&quot;&hellip;) le hisseront au sommet. En 1984, devenu Sting, il reprend sa libert&eacute; pour mener une florissante carri&egrave;re solo. Depuis, s&#39;aventurant avec gr&acirc;ce dans diff&eacute;rents univers musicaux, du jazz au R&#39;n&#39;B, de la pop au classique, ce musicien accompli, f&eacute;ru de litt&eacute;rature, n&#39;a eu de cesse de suivre son intuition, tout en se montrant &agrave; l&#39;&eacute;coute des autres et du monde. 
 
Au fil d&#39;un entretien exclusif avec l&#39;artiste, Julie Veille revisite le parcours hors norme d&#39;un homme inspir&eacute;, sensible et engag&eacute;, qui se sert de son art pour exprimer ses pens&eacute;es intimes et porter des combats qui lui tiennent &agrave; c&oelig;ur, de la pr&eacute;servation de la for&ecirc;t amazonienne &agrave; son soutien aux victimes de la dictature de Pinochet au Chili. Les confidences in&eacute;dites de ses proches, parmi lesquels Bob Geldof, Will.i.am, Zucchero et Dominic Miller, et des images d&#39;archives rares retracent une vie faite de rencontres et d&#39;innovations musicales. L&#39;histoire d&#39;un &eacute;lectron libre guid&eacute; par son humanit&eacute; et son insatiable curiosit&eacute;.

En quarante ans de chansons, Sting s&#39;est trac&eacute; une route singuli&egrave;re, entre tubes et combats personnels. M&ecirc;lant interview, archives et t&eacute;moignages, le portrait in&eacute;dit d&#39;un artiste hors pair.

Portraits de musiciens

ARTE Boutique vous recommande aussi...

Bienvenue sur Arte Boutique !

Cinéma, documentaires, séries, films d’animation : retrouvez des milliers de programmes sur notre plateforme.

Nous mettons un point d’honneur à garantir la protection de vos données personnelles.

À vous de choisir !

Description de la collection

ARTE Boutique vous recommande aussi...

Le réseau ARTE

Assistance

Infos légales

Paiement