Les trois jours du condor
1975
Thriller
Etats-Unis
Réalisation : Sydney Pollack
Avec : Robert Redford, Faye Dunaway, Cliff Robertson, Max Von Sydow, John Houseman
Avec Robert Redford, un régal du film d'espionnage à la sauce seventies, magnifiquement réalisé par Sydney Pollack.
Joseph Turner – nom de code "Condor" – travaille dans une unité de la CIA, qui traque les fuites et cherche de nouvelles pistes de renseignement dans les écrits publiés dans le monde entier. En recoupant différentes sources, il est arrivé à la conclusion que l’agence a été infiltrée. Son chef n’y croit pas mais envoie malgré tout un rapport à l’échelon supérieur. La réponse tombe : négatif. Le même jour, Turner découvre les corps sans vie de ses collègues, froidement assassinés, à son retour de déjeuner. Déboussolé, il s’enfuit et alerte sa hiérarchie. Mais à qui faire confiance ?
Dès les premières images, l’ennemi est partout, invisible, aux aguets. Juste après l’excellent thriller Yakusa, avec Robert Mitchum, Sydney Pollack fait monter la tension d’un cran avec ce film d’espionnage très seventies. Musique funky de série policière et sexe décomplexé s’ajoutent aux traditionnels ingrédients du genre : suspense haletant, agents troubles, retournements de situation et séduction à la dure. En jouant sur le thème du complot en haut lieu, le film touche une corde sensible chez des Américains devenus méfiants à l’égard des autorités depuis le Watergate. Dans le rôle du (beau) grain de sable qui grippe la machine, Robert Redford se retrouve aux prises avec des méchants aux contours incertains.
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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