La conquête de Clichy et une journée chez ma tante, au Mont-de-piété
Histoire
Deux films de Christophe Otzenberger
L'histoire se passe entre la fin 1993 et mars 94, à Clichy-la-Garenne dans les Hauts-de-Seine, alors le fief de Charles Pasqua. Depuis longtemps socialiste, la ville et le canton sont convoités par le RPR. Vont-ils basculer et comment ? Une plongée dans les entrailles de la politique...
Casting de ce film de cinéma direct : Didier Schuller, mandaté par le RPR, Gilles Catoire, édile PS de Clichy, et leurs militants.
Jours après jours, de réunions d'état-major en débats, de porte-à-porte dans les HLM au travail des militants, d'idées lancées par les uns et reprises par les autres, le film, ausculte la vie quotidienne de la permanence RPR et suit cette campagne certes locale, mais exemplaire.
Que sont devenues les idées ?
Quand en novembre 94, Christophe Otzenberger termine son film, l'affaire des HLM des Hauts-de-Seine éclate. Le film - à son insu - devient politiquement radioactif...
Une journée chez ma tante, au Mont-de-piété
Depuis sa création, il y a 200 ans, le principe du mont-de-piété ou Crédit municipal, le prêt sur gage, n'a guère évolué. Le film est le quotidien de cet établissement bancaire atypique où s'affrontent négoce et compassion. Un témoignage poignant de clients que la détresse contraint à gager objets de valeur ou trésors dérisoires et un regard sur les employés confrontés à la misère.
Par Marie C., le 2 janvier 2017
Muni d 'un scénario solide et pertinent, ce dessin animé divisera par l’étrangeté de son univers. À voir au moins une fois tout de même.
Par Andrea T., le 20 décembre 2016
Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre. L'animation est bancale mais vu les moyens habituellement alloués à Un dessin animé original, français (et tchèque) qui plus est, mais malheureusement un peu trop court et pas assez développé pour en faire un réel chef-d'oeuvre.Lire la suite
Par Aziz B., le 1er décembre 2016
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