Promotions

Offrir une carte Cadeau

Offrir une VOD

Aide

Nous contacter

Assistance

Mentions Légales et protection des données personnelles

Politique de cookies ARTE Boutique

Infos légales

ARTE.tv

ARTE Radio

ARTE Boutique

Productions numériques

Le réseau ARTE

Des drames historiques sur la Première Guerre mondiale

Julien Delaunay a disparu sur un champ de bataille de la Grande guerre. Sa femme, Julie, ne croit pas qu&rsquo;il soit mort. Et quand la presse publie le portrait d&rsquo;un homme amnésique, elle est certaine de reconnaître Julien. Ils se retrouvent et réapprennent à s&rsquo;aimer. Mais une autre femme réclame cet homme comme étant son mari.

Guillaume Bureau explore la puissance des souvenirs qui se r&eacute;veillent &agrave; travers un triangle amoureux.&nbsp;

C'est mon homme

N&eacute;lie a &eacute;chapp&eacute; &agrave; une existence mis&eacute;rable en devenant infirmi&egrave;re auxiliaire sur le front en 1914. Un jour, elle prend l&rsquo;identit&eacute; de Rose, une jeune femme qu&rsquo;elle a vue mourir sous ses yeux, et promise &agrave; un meilleur avenir. N&eacute;lie se pr&eacute;sente &agrave; sa place chez une riche veuve, El&eacute;onore, dont elle devient la lectrice. Le mensonge fonctionne au-del&agrave; de ses esp&eacute;rances.

Un troublant r&eacute;cit romanesque qui s&eacute;duit gr&acirc;ce &agrave; une mise en sc&egrave;ne limpide et &agrave; un impeccable trio d&rsquo;actrices.

La place d'une autre

Devant la porte, son chien tout caboss&eacute; aboie jour et nuit. Non loin de l&agrave;, dans la campagne, une jeune femme us&eacute;e par le travail de la terre, trop instruite cependant pour &ecirc;tre une simple paysanne, attend et esp&egrave;re. Le juge qui arrive pour d&eacute;m&ecirc;ler cette affaire est un aristocrate dont la guerre a fait vaciller les principes. Trois personnages et, au milieu d&rsquo;eux, un chien, qui d&eacute;tient la clef du drame&hellip;

Dans une petite ville, &eacute;cras&eacute;e par la chaleur de l&rsquo;&eacute;t&eacute;, en 1919, un h&eacute;ros de la guerre est retenu prisonnier au fond d&rsquo;une caserne d&eacute;serte.

Le collier rouge 

Comprenant vite que leur pays ne veut plus d&#39;eux et condamn&eacute;s &agrave; l&#39;exclusion, les deux hommes que le destin a r&eacute;unis imaginent alors une escroquerie d&#39;une audace inou&iuml;e.

Albert, un employ&eacute; modeste qui a tout perdu, et Edouard, un artiste flamboyant devenu une &#39;gueule cass&eacute;e&#39;, ont miraculeusement surv&eacute;cu au carnage de la Grande Guerre.

Au revoir là-haut

1915. &Agrave; la Ferme du Paridier, les femmes ont pris la rel&egrave;ve des hommes partis au front. Travaillant sans rel&acirc;che, leur vie est rythm&eacute;e entre le dur labeur et le retour des hommes en permission. Hortense, la doyenne, engage une jeune fille de l&#39;assistance publique pour les seconder. Francine croit avoir enfin trouv&eacute; une famille...

Xavier Beauvois (Des hommes et des dieux) r&eacute;alise un magnifique film sur le courage des femmes durant la Grande Guerre.

Les gardiennes

Un matin, elle&nbsp;fait la connaissance dans le cimeti&egrave;re d&rsquo;Adrien, un Fran&ccedil;ais venu se recueillir sur la s&eacute;pulture&nbsp;du disparu. L&rsquo;inconnu se pr&eacute;sente comme un ami du d&eacute;funt, qu&rsquo;il assure avoir jadis connu &agrave; Paris lorsqu&rsquo;ils faisaient leurs &eacute;tudes. Une amiti&eacute; emplie de tendresse et de souvenirs s&rsquo;instaure peu &agrave; peu entre les deux jeunes gens. D&rsquo;abord r&eacute;ticents, les parents de Frantz, chez qui Anna habite, ouvrent leur porte &agrave; Adrien au grand dam des habitants de leur village.

Tendre jeu

Librement inspir&eacute; d&rsquo;une pi&egrave;ce de Maurice Rostand, d&eacute;j&agrave; port&eacute;e &agrave; l&rsquo;&eacute;cran en 1932&nbsp;par Ernst Lubitsch (Broken Lullaby / L&rsquo;homme que j&rsquo;ai tu&eacute;), Frantz impressionne par l&rsquo;intensit&eacute; &eacute;motionnelle qui s&rsquo;en d&eacute;gage. Dans un superbe noir et blanc (qui valut un C&eacute;sar au chef-op&eacute;rateur Pascal Marti) ponctu&eacute; de trou&eacute;es de couleur &agrave; l&rsquo;&eacute;vocation des souvenirs heureux, Fran&ccedil;ois Ozon tisse un drame sentimental lest&eacute; du poids du mensonge entre deux &ecirc;tres que tout s&eacute;pare.

R&eacute;v&eacute;lant au public fran&ccedil;ais l&rsquo;&eacute;toile montante du cin&eacute;ma allemand Paula Beer, Frantz offre &agrave; Pierre Niney un r&ocirc;le tout en d&eacute;licatesse pour lequel le com&eacute;dien s&rsquo;est pr&eacute;par&eacute; en s&rsquo;initiant &agrave; la langue de Goethe et en prenant des cours de valse et de violon.

Au travers de l&rsquo;attachement qui, au fil des rencontres et des confidences, germe entre la droite jeune femme et&nbsp;le menteur magnifique se dessine aussi le r&ecirc;ve d&rsquo;une r&eacute;conciliation entre leurs deux pays, pareillement endeuill&eacute;s par la guerre et indissociablement r&eacute;unis par l&rsquo;amour de l&rsquo;art et de la musique.

Allemagne, 1919. La jeune Anna se rend chaque jour sur la tombe de Frantz, son fianc&eacute; tomb&eacute; dans les tranch&eacute;es de la Premi&egrave;re Guerre mondiale.

Frantz

1914. Le lieutenant Adrien Fournier s&#39;appr&ecirc;te &agrave; partir au front. Alors qu&#39;il doit renoncer &agrave; monter dans le premier train, bond&eacute;, il assiste aux adieux d&eacute;chirants d&#39;une femme et de son amoureux. Apr&egrave;s le d&eacute;part du fianc&eacute;, il invite celle-ci &agrave; boire un caf&eacute; et tente de la r&eacute;conforter. Ils finissent par s&#39;embrasser et par passer une fougueuse nuit d&#39;amour. Au petit matin, Adrien part rejoindre son r&eacute;giment. Peu apr&egrave;s, il est fauch&eacute; par une explosion. Il se retrouve &agrave; l&#39;h&ocirc;pital du Val-de-Gr&acirc;ce, avec la m&acirc;choire et le nez fracass&eacute;s, entour&eacute; d&#39;autres &quot;gueules cass&eacute;es&quot;.

&nbsp;

Douceur consolante

Inspir&eacute; de l&#39;histoire r&eacute;elle d&#39;Adrien Fournier, ce film raconte avec d&eacute;licatesse le lent retour &agrave; la vie d&#39;hommes qui r&eacute;apprennent &agrave; manger, &agrave; parler et &agrave; affronter le regard des autres, notamment des femmes. &quot;Il fallait rester du c&ocirc;t&eacute; de l&#39;imagination, c&#39;est-&agrave;-dire ne jamais trop montrer&quot;, expliquait le directeur de la photographie Tetsuo Nagata lors de la sortie du film. L&#39;&eacute;cueil &eacute;tant que, telle la m&egrave;re du h&eacute;ros, le public &eacute;prouve une r&eacute;action de rejet face &agrave; ces visages d&eacute;figur&eacute;s. Justement r&eacute;compens&eacute; aux C&eacute;sar, Nagata a donc travaill&eacute; une image aux tons monochromes, qui adoucit &agrave; l&#39;&eacute;cran la tum&eacute;faction des chairs. L&#39;amiti&eacute; qui na&icirc;t entre les soldats est servie par le formidable trio que forment &Eacute;ric Caravaca, Denis Podalyd&egrave;s et Gr&eacute;gori Derang&egrave;re, entre chaleur, humour et d&eacute;sespoir. &Agrave; noter aussi les prestations d&#39;Andr&eacute; Dussollier et de Sabine Az&eacute;ma, cr&eacute;dibles en m&eacute;decin charismatique et en infirmi&egrave;re maternelle.

Une &eacute;mouvante &eacute;vocation des &quot;gueules cass&eacute;es&quot; de la guerre de 1914, avec &Eacute;ric Caravaca, Denis Podalyd&egrave;s&nbsp;et&nbsp;Sabine Az&eacute;ma.

La chambre des officiers

10 septembre 1918, &agrave; la fronti&egrave;re bulgare. Sur le front des Balkans, le lieutenant Norbert sympathise avec le lieutenant Conan, &agrave; la t&ecirc;te d&#39;un d&eacute;tachement d&#39;hommes. Leur mission : surprendre et tuer l&#39;ennemi, souvent au corps-&agrave;-corps et &agrave; l&#39;arme blanche. Rus&eacute;, fort en gueule et vif comme la dynamite, Conan se joue des r&egrave;glements militaires, qu&#39;il juge absurdes. Il est aussi sanguin que Norbert est pos&eacute; et indulgent. Un jour, vient l&#39;armistice. Coinc&eacute;s &agrave; Bucarest et rendus &agrave; un semblant de vie civile, ses hommes se conduisent comme des brutes, et l&#39;arm&eacute;e, avide &quot;d&#39;exemples&quot;, ne ferme plus les yeux&hellip;

&nbsp;

&quot;C&#39;est nous qui l&#39;avons gagn&eacute;e cette putain de guerre&quot;, d&eacute;clare Conan, dans le film. &quot;Les autres l&#39;ont faite.&quot; S&#39;emparant d&#39;un chapitre m&eacute;connu de la guerre de 1914, racont&eacute;e dans le roman de Roger Vercel, prix Goncourt en 1934, Bertrand Tavernier prend la Grande Guerre &agrave; la hussarde pour mieux lui redonner vie. Il s&#39;int&eacute;resse &agrave; des parias, les nettoyeurs de tranch&eacute;es, raconte l&#39;histoire par sa fin et se poste &agrave; un front oriental o&ugrave; la d&eacute;mobilisation semble ne jamais devoir arriver...

Les grandeurs et bassesses de la guerre de 1914, sous le regard de Tavernier, et avec Torreton dans l&#39;un de ses meilleurs r&ocirc;les.

Première Guerre mondiale

ARTE Boutique vous recommande aussi...

Bienvenue sur Arte Boutique !

Cinéma, documentaires, séries, films d’animation : retrouvez des milliers de programmes sur notre plateforme.

À vous de choisir !

Description de la collection

ARTE Boutique vous recommande aussi...

Le réseau ARTE

Assistance

Infos légales

Paiement